Cette autorisation permet à SDX de mettre en service la première infrastructure de négociation, de règlement et de conservation numérique réglementée et entièrement intégrée au monde pour les actifs numériques. Grâce à ces licences, SDX peut désormais offrir les normes suisses de surveillance et de réglementation les plus élevées.
SIX Digital Exchange a entrepris de créer une infrastructure de négociation, de règlement et de conservation entièrement intégrée pour les actifs numériques en 2018. Cette étape est désormais franchie avec l’autorisation de la FINMA et ouvre la voie à la prochaine étape du développement d’un futur écosystème.
Au cours des mois et des années à venir, SIX Digital Exchange continuera d’investir dans le développement de l’écosystème financier numérique afin de créer un réseau mondial de liquidité pour les actifs numériques en s'engageant dans des projets de coopération avec des partenaires et en accélérant l'intégration de divers acteurs financiers mondiaux et locaux. Alors que cette clientèle internationale s’élargit pour inclure des banques, des émetteurs, des compagnies d’assurance et des investisseurs institutionnels, les membres de SDX créeront un réseau d’échange mondial d’actifs numériques, libérant ainsi des liquidités mondiales basées sur la technologie des registres distribués.
Thomas Zeeb, Global Head Exchanges et membre du conseil d’administration de SIX, a déclaré ce qui suit: «La numérisation des marchés financiers se poursuit à un rythme soutenu et, bien que la forme finale du marché soit encore en évolution, il s'agit d'une étape importante dans la fourniture aux investisseurs institutionnels d'une infrastructure sûre et robuste répondant à toutes les exigences fondamentales d'une infrastructure traditionnelle d'échange et de CSD
À cet égard, le processus d'approbation de SDX s’est avéré être une expérience inestimable pour SIX et pour l’industrie dans son ensemble. Cela nous a permis de définir notre offre, notre stratégie et de construire un nouvel écosystème pour aider nos clients à répondre aux demandes croissantes de retour commercial auxquelles ils sont confrontés de la part de leurs parties prenantes.
Il s’agit d’une étape importante dans l’introduction de la numérisation des marchés des capitaux dans le courant dominant, mais ce n’est que le début. Nous continuerons à travailler avec nos clients, les régulateurs et les autres parties prenantes pour façonner les marchés de l’avenir.»
Avez-vous des questions?
Pour de plus amples informations, Jürg Schneider est à votre entière disposition.